L'auteur nous démontre d'une part que la maladie est la solution biologique de survie du cerveau inconscient d'autre part que la maladie est un nouvel organe, zone de décharge d'un stress familial dans une traduction biologique. Elle cherche à résoudre un conflit précis vécu dans l'histoire des parents. Ce manifesté est le résultat d'un deuil non fait dans le vécu-ressenti d'un des parents et cette solution vient libérer le champ émotionnel de cette mémoire familiale. Chaque vie est la réparation, la sacralisation de la saga familiale. À travers ce labyrinthe de l'inconscient, Joseph utilise comme fil d'Ariane la biologie, c'est-à-dire les mécanismes physiologiques de chaque fonction cellulaire. Il permet ainsi à chacun de devenir lecteur créatif d'un texte particulier, celui de son existence.