Une philosophie de l’Universel

Une philosophie de l’Universel « Chaque individu doit travailler à son propre développement, à son propre enrichissement, à condition qu’il ne le fasse pas uniquement pour lui-même, mais pour le bien de la collectivité. À ce moment-là, on ne parle plus seulement de collectivité mais de fraternité. La collectivité n’est pas encore la fraternité. La fraternité est une collectivité où règne une véritable cohésion, car chaque individu travaille consciemment pour le bien de tous. « En réalité, on distingue dans une société trois catégories d’individus qui correspondent à trois niveaux de conscience : ceux qui veulent travailler seuls, isolés, repliés sur eux-mêmes ; ceux qui ont compris les avantages qu’ils peuvent tirer de la vie collective et qui se regroupent, mais seulement parce qu’ils y ont intérêt, sans bien se connaître ni s’aimer ; et enfin ceux qui apprennent à vivre plus fraternellement en approfondissant de plus en plus en eux-mêmes, la conscience de l’universalité. » Table des matières – I. Quelques précisions sur le terme de secte – II. Aucune Église n’est éternelle – III. Chercher l’esprit derrière les formes – IV. L’avènement de l’Église de saint Jean –V. Les bases d’une religion universelle – VI. La Grande Fraternité Blanche Universelle – VII. Comment élargir la notion de famille – VIII. La fraternité, un état de conscience supérieur – IX. Les congrès fraternels au Bonfin – X. Donner à chaque activité une dimension universelle. Format : 11,2 x 18, 169 pages, 1 schéma – ISBN 978-2-85566-388-3

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