Après la disparition de son fils Olivier, avec l’intense douleur de la mort, surgit comme par miracle l’espérance en une vie après, grâce aux signes rapides et très concrets dont famille et amis furent témoins. Vinrent enfin les messages reçus à partir du 4 septembre 1996 et sans discontinuer depuis. C’est ainsi que Jean Pernin, devenu malgré lui relais de l’autre monde, combat l’orgueil, l’incrédulité et le mensonge qui sont les cancers de notre temps.