« Les oncologues sont-ils le mieux placés pour parler du cancer ? D’un certain point de vue, oui, puisqu’ils sont précisément spécialistes du sujet. D’un autre point de vue, non, car leur formation universitaire est cruellement déficiente sur un point : le malade. Or, s’il y a bien deux choses qui sont inséparables […], c’est bien le malade et son cancer. C’est là qu’être médecin généraliste s’avère un atout majeur. Si l’universitaire se focalise sur une maladie, le généraliste s’occupe avant tout de malades. Le livre que vous tenez en main a donc été écrit par quelqu’un qui a consacré toute une vie aux malades. » Marc Henry. Imaginer que des thérapeutiques alternatives permettent d’éviter celles préconisées par la cancérologie classique serait une erreur grossière. Cependant, les traitements contre le cancer ne prennent pas en charge le processus de cancérisation et n’empêchent pas une récidive. Ainsi, dans l’objectif de rééquilibrer un terrain précancéreux ou affaibli par les produits iatrogènes (antihistaminiques, hypocholestérolémiants, aluminium, etc.), des thérapeutiques alternatives ont été dégagées par l’auteur.