Rougeole, oreillons et rubéole sont des maladies bénignes, rarement compliquées et très rarement fatales ; leur mortalité était proche de zéro avant les vaccins. L’absence d’essai clinique robuste suscite le doute sur l’efficacité de ces vaccins. D’autant plus que l’épidémiologie de ces maladies s’avère imprévisible et indépendante de la vaccination. La non-concordance entre rougeole et vaccination interroge : sommes-nous face à de nouveaux génotypes ? Y a-t-il des interactions entre virus sauvages et vaccinaux ? Le vaccin actuel est-il efficace contre les virus actuels ? Les effets adverses étant rarement déclarés, comment estimer la réelle responsabilité de ces vaccins dans certaines pathologies, dont l’autisme ? L’obligation vaccinale sous prétexte de protection communautaire est-elle scientifiquement légitime ? Pour répondre à ces questions et échapper aux rumeurs contradictoires et déclarations alarmistes, une nouvelle science des vaccins est nécessaire.